Analyse de texte "chasseur de vieux" de dino buzzati
Développement
Qui parle dans le texte narrateur, l’auteur
Qui voit la scène le narrateur voit la scène depuis l’extérieur. C’est un narrateur extérieur. Il est omniscient. Il sait également ce que le personnage principal pense.
(Ex. « Il se dit : je n’ai pas le temps d’arriver jusqu’à l’auto. Mais je peux me réfugier au bar, ces petits salauds n’oseront pas entrer… » ou « L’homme eut un soupir de soulagement, maintenant il devait penser à lui ».)
Temps des verbes imparfait pour les descriptions.
(Ex. « Les journaux, la radio, la télévision, les films y étaient pour quelque chose. On flattait les jeunes, on les plaignait, ils étaient adulés… » ou « Dans ces cas-là, l’homme était ligoté et roué de coups tandis que, sous ses yeux, sa compagne était soumise, par ses contemporains, à de longues violences corporelles raffinées de tout genre ».)
Passé simple pour les actions.
(Ex. «d’un coup de hanche rapide, elle se glissa devant le volant, mit le contact, passa en première et démarra a toute allure en emballant le moteur »
Structure du texte introduction : depuis « Le problème des jeunes ! » jusqu’à « violences corporelles raffinées de tout genre ». Ici, on explique l’origine de la chasse aux vieux. On pose les éléments de base à la compréhension de la suite de l’histoire.
Il n’y a pas vraiment de partie que l’on puisse nommer « nœud », étant donné qu’il a déjà eu lieu plus tôt dans l’histoire. Ici ce sont plutôt les péripéties qui continuent… depuis « Roberto Saggini mesura le danger » jusqu’à « en emballant le moteur ». C’est donc la suite des péripéties.
Dans cette partie du texte on a plus de descriptions que de narration. Il y a également peu de dialogue. D’ailleurs il n’y a qu’une seule phrase, prononcée par Roberto Saggini en direction de Silvia « Silvia, Silvia ! cria-t-il, démarre ! Dépêche-toi ! Vite, vite ! »
On donc peut clairement voir 2 parties distinctes dans