Analyse critique de documentsLors de l’année 1789, c’est la fin de l’Ancien Régime. La France entre en République avec la devise Liberté-Égalité-Fraternité, l’Assemblée nationale, une Constitution et le pouvoir du peuple. « Quand on se mêle de diriger une révolution, la difficulté n’est pas de la faire aller, mais de la retenir ». C’est une citation écrite par le comte Mirabeau s’exprimant sur son idée de la révolution. Par ailleurs, le document auquel nous nous intéressons est une gravure datée …afficher plus de contenu…

Dans un second temps, nous nous pencherons de façon critique sur la vision de l’auteur lors de la révolution. Tout d’abord, nous remarquons que la première gravure du document correspond à la domination de la noblesse et du clergé envers le tiers état. Ce que l’on appelle la société d’ordre. Chaque ordre joue un rôle particulier dans la société. Cependant, ces inégalités entre le tiers état, la noblesse et le clergé vont amener à un retournement de situation du tiers état contre le clergé et la noblesse, qui va donner lieu à la Révolution française comme le témoigne la seconde gravure. De ce fait, de nombreux évènements importants ont eu lieu, notamment la prise de la bastille le 14 juillet 1789, où des centaines de parisiens se sont rendu aux Invalides afin …afficher plus de contenu…

D’autre part, la quatrième gravure reste néanmoins une vision très idyllique de la révolution. Elle représente la réunion des trois ordres à parfaite égalité. Nous pouvons donc associer cette gravure au vote de la constitution civile du clergé par l’Assemblée constituante le 12 juillet 1790. Et deux jours plus tard, le 14 juillet 1790, les Français et la famille royale célèbrent ensemble la fête de la fédération qui célèbre l’union nationale qui commémore la prise de la bastille. La DDCH est dans la même mesure un évènement que l’on retrouve dans cette gravure de l’union des trois ordres. Cette dernière nous montre finalement ce qu’a apporté la révolution à la France, l’égalité des citoyens devant la loi, également des libertés fondamentales et la