Analyse de pratique prise de sang sur une prise de sang
pleurait et poussait des cris de douleurs. Je prépare le matériel nécessaire (gants, compresses imbibées d’alcool, tubes, aiguilles à ailettes, garrot, pansements, DASRI) pendant que l’infirmière discute avec la résidante. Ensuite, je pose le garrot pour repérer où j’allais piquer. Les veines de Mme D. n’étant pas évidentes à trouver, je prends mon temps pour bien les sentir, tapote et passe avec une compresse imbibée d’alcool pour les stimuler afin qu’elles ressortent. Etant concentrée pour ne pas me louper, je ne fais pas forcement attention à l’état de Mme D. Les veines ne ressortant pas beaucoup …afficher plus de contenu…
Mme D. était en train de pleurer après la piqure. Je lui ai dit que j’avais terminé et que je la laissais tranquille. J’ai prit le temps de rester avec elle pour discuter un peu. Malgré le fait que ce soit ma seconde prise de sang, je n’étais pas stressée car l’infirmière m’avait rassurée en disant que cette résidante n’était pas facile à piquer et que si je ne réussissais pas elle prendrait la relève. J’étais cependant un peu paniquée à l’idée que Mme D. se mette à pleurer beaucoup ou crier de douleur devant moi. J’aurai aimé avec le recul la rassurer davantage et converser avec elle pendant la réalisation du soin pour la faire penser à autre chose et qu’elle ne stresse pas. Sur le moment, mon attente principale était de réussir la prise de sang du premier coup pour éviter à Mme D. de