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Stage n°4 Du 18/03/2013 au 07/06/2013
Spécialité : Soins de courte durée (Urgences)
Situation 1 :
Lieu :
Au cours de mon stage du semestre 4 dans le service des urgences, j'ai identifié différents éléments ou pratiques relatives aux prescriptions médicales ou à leurs applications qui m'ont questionné voir mis en difficulté.
Situations ou activités vues ou réalisées :
Premièrement, les prescriptions médicales étaient généralement réalisées de façon manuscrite par les médecins or dans certains contextes (service surchargé, médecin urgentiste indisponible...) les prescriptions étaient recopiées par les infirmières et ensuite contre signées par les médecins. Ensuite, certains éléments nécessaires à l’application d’une prescription médicale par l'infirmière n'étaient pas toujours retrouvés et m'ont mis en difficulté. (La voie d’administration, le dosage, l’horaire d’administration et la signature du médecin). Mais une pratique professionnelle m'a tout particulièrement questionné. En effet, régulièrement, lorsqu’un patient algique se présentait aux urgences, et après la prise des constantes, des antalgiques (généralement du Perfalgan) voir des anti-inflammatoires ou des antispasmodiques lui étaient administrés par voie intraveineuse, sans que le médecin urgentiste ne l’ait ausculté et sans qu’il n’y ait eu une quelconque ordonnance. Les informations étaient simplement dites oralement au médecin urgentiste une fois celui-ci disponible. Enfin, la validation d’administration du ou des traitements était faite une fois la prescription faite, parfois plusieurs minutes après l’administration.
Observations, étonnements :
Cela m’a ainsi questionné sur certains points :
Quelles sont les responsabilités du professionnel face à l’administration de thérapeutiques sans prescription médicale ?
Existe-t-il des protocoles permettant au professionnel d’administrer un traitement aux patients sans que le médecin n’ait fait d’ordonnance et simplement grâce à