Après avoir montré que la télévision a pu avoir un rôle dans la monté de la délinquance juvénile en france depuis 1990, vous discuterez cette opinion et rechercherez d’autres facteurs.
La délinquance se définie par un ensemble de comportements, qui transgressent les normes juridiques, qui sont susceptibles d’être réprimés pénalement.
Peut-on alors établir un lien entre la surconsommation de la télévision dès le plus jeune âge et les comportements déviants de certains mineurs ?
Dans un premier temps nous tenterons de montrer de quelle manière la télévision peut être un facteur de la montée de la violence juvénile depuis 1990 en France. A contrario, dans un deuxième temps nous essaierons de démontrer que la montée de la délinquance n’est pas du à la télévision mais à d’autres facteurs socio-économiques. La télévision est devenue avec le temps un élément socialisateur. Ce-dernier, socialise par interaction c’est-à-dire qu’à son contact, les individus, intériorisent des normes et des valeurs. D’ailleurs, on accuse depuis un certain temps, la télévision, de banaliser la violence par l’image en imposant aux téléspectateurs et plus particulièrement aux jeunes consommateurs des images violentes et agressives, la télévision fait entrer la violence dans les normes. On peut prendre l’exemple de ce jeune Nantais de 17 ans, qui le 5 Juin 2005, a poignardé de plusieurs coups de couteau une de ces camarades et ce après avoir visionné de multiples fois le film d’horreur Scream, ce-dernier a avouer avoir eu des pulsions assassine après cela.
Ces faits divers viennent justifier l’enquête de corrélation (constat mathématique qui permet d’affirmer un possible lien entre deux phénomènes) qui, d’après Xavier Molénat, a prouvé que les personnes qui sont, depuis leur jeune âge, de gros