aps cochet
1/ Après étude sur le mois de mai et de juin on peut constater que le coût de production par produit à augmenté et par conséquent notre résultat par produit à lui diminué. Cette augmentation est du à l’augmentation des matières premières.
DE : Stagiaire
A : Mr COCHET Dirigeant
DATE : 14 mars 2014
SOURCE : www.chococlic.com
OBJET : nouvelle législation sur les matières grasses végétales existante
Note de Synthèse
Après étude des coûts de production des mois de Mai et Juin, on peut constater une augmentation du coût de production du beurre de cacao de 1.64 par quantité. Cette augmentation est due au cout du travail dans l’atelier pressage qui a subi une augmentation de 4.15 l’heure de mains d’œuvre.
Une nouvelle législation propose d’introduire des matières grasses végétales dans la fabrication du chocolat. Il s’agit d’un décret voté le 15 mars 2003 pour l’ensemble des pays de l’Union Européenne.
D’après l’article 2 du texte, on peut incorporer au mélange de cacao et de sucre des matières grasses végétales en remplacement du beurre de cacao dans l’atelier conchage.
Les matières grasses végétales autorisées appartiennent à la catégorie des équivalents de beurre de cacao : illipé, huile de palme, sal, karité, kogum gurgi, et noyaux de mangue. Ces matières grasses végétales peuvent être utilisées dans la limite de 5 % par rapport au poids du produit finis, concernant la partie chocolat exclusivement.
Au niveau de l’étiquetage, une mention obligatoire doit attirer l’attention du consommateur et être clairement lisible : « Contient des matières grasses végétales en plus du beurre de cacao »
Cette mention est située dans le même champ visible que la liste des ingrédients de manière bien distincte et en caractère gras.
Pour conclure la législation n’a que très peu changer, les consommateurs pourront trouver des chocolats avec différente matières grasse.