Aristophane, lysistrata
La pièce tire son nom de l’héroine éponyme qui dans le texte mène la révolte car lassée de la guerre, les femmes décident de cesser la gueurre, négocier la paix.
Dans l’extrait proposé, les femmes sont retranchés sur l’acropole et la cité a envoyé un ministre pour parlementer avec elles. Ledialogue entre le comissaire et les femmes et le conflit qu’il comporte est ce que nous allons étudier.
PBTMT : Quelles sont les enjeux du conflit qui oppose les hommes et les femmes ?
Annoce du plan.
I. Les signes du conflit
- Les rapports de forces en présence : deux forces : le commisaire et la femme.
Le commissaire occupe une position pkus importante dans la hiérarchie sociale mais ici il est en minorité.
- la distribution de la parole ; la répartition des répliques confirme le déséquilibre en faveur des femmes. Démobilisette mobilise la parole.
- la progression de l’intensité dramatique : chacune des deux forces en présence cherches a imposer le silence a l’autre. D’abord le commissaire a Victoire, puis a Démobilisettte. Le comissaire ne fait que confirmer les reproches faits par Démobilisette.
La croissance est présente aussi dans les propos du comissaire „vielle“ puis „satanée gueuse“, on passe du mépris a l’insulte. Il réagit aux propos de Démobilisette par des provocations répétées.
Le comissaire approuve l’arrogance des hommes : signe de tension. La tension est accrue par les intensions de Victoire qui en rajoute. Elle atteint son proxysme a