Une critique virulente de l’intolérance religieuse

Encyclopédie, article « Réfugiés ».

D’une définition à une prise de position

Une définition : objectivité + généralité
Ici : définition orienté, qui fait appel à une évocation historique : L’Edit de Nantes ( révocation protestant français)

Les persécuteurs sont qualifié péjorativement : les catholiques = « aveugles », « inconcidéré ».
Les persécuté sont vu comme des victimes : Les prostestants = « exilés », « imposé », « forcé de fuir le France » donc ils sont déraciner !

La critique de la révocation de l’édit de Nantes

L’exil a engendré : une chute de la démographie Des pertes économiques ( « ressources »), culturel ( « art »), technologiques (« talents »)
Métaphore de la « plaie profonde » : une partie de la force/ le corps de la France est partie
L’auteur se veut représentant des « bons Français qui gémissent »
Critique de Louis XIV, alors mort. Défini comme un « aveugle », un « impudent » , conseiller par des « mauvais » ( Eglise catholique ( ennemis de la liberté penser.
Reprise d’une image traditionnelle : « ombre de l’ignorance » : dénonciation de l’ obscurantisme catholique(Opposition à la diffusion de l'instruction, de la culture, au progrès des sciences, à la raison, en particulier dans le peuple ).

Le comportement d’un gouvernement éclairé

Un gouvernement violent : persécution, punition ( intolérance)
L’auteur explique que la multitude religieuse n’empêche pas l’esprit de citoyenneté, et la fidélité politique « fidèles à leur prince ».

Conclusion du texte.

L’auteur fini son article avec une attaque des partisans sosu forme d’une question rhétorique. Il accuse les partisans d’être dépourvu de sentiments et critique l’intolérance des persécuteurs. Il assure que la loi du plus fort, de la force n’est pas valable puisque dès qu’il y a un plus fort que soit la vérité est contesté : ceux qui croient en cette loi sont donc aussi