L’être humain a parcouru un grand chemin face à sa compréhension de la place qu’il occupe dans ce monde. D’abord des mammifères se déplaçant à quatre pattes, nous avons évolués à même notre univers, qui lui aussi est constamment victime d’évolution. Au fil des siècles, nous nous sommes distingués des animaux par notre mode de vie de même que par nos connaissances transmises de générations à générations. Dans un premier temps, nous résumerons la position que prennent Clarke et Texier devant ce concept pour ensuite élaborer une analyse complète de ses idées. Dans un dernier temps, nous discernerons les liens possibles avec les concepts véhiculés par ces auteurs et les diverses positions des deux autres auteurs vus en classe. Dans leur ouvrage, Clarke et Texier essaye de nous démontrer que nous sommes la provenance d’un hasard incroyable, qui a assuré notre survie et qui a su surpasser la sélection naturelle. Ils expliquent que nous étions les plus démunis parmi les autres créatures mais que de génération à génération nous avons su en tiré du positif qui fit de nous des êtres de plus en plus forts. Selon eux l’homme aurait pris ses distances avec l’évolution biologique pour en prendre davantage avec une forme d’évolution complètement nouvelle, celle qui est justifiée par la culture et les appris de ses ancêtres. Selon Clarke et Texier, deux principes fondamentaux séparent l’homme de l’animal, la conscience et la culture. Les animaux agissent de façon impulsive, lorsqu’ils en ressentent le besoin alors que l’être humain est apte à planifier et à prévoir ces gestes ou ces comportements. C’est uniquement grâce à ces dons, que nous avons pu assurer la connaissance et développer notre plus grosse caractéristique, celle d’être des inventeurs perpétuels. Cette particularité naquît lorsque l’homme était constamment préoccupé par son avenir et cherchait à améliorer ses conditions de vies. Une transition surnommée la dénaturation s’est produite lorsque l’homme vécue