Jeunes salvadoriens attention au sexe ! "Quoi ?!’’ a répondu Miguel Hernandez, quand nous lui avons demandez s’il connaissait des méthodes contraceptives. Miguel a 16 ans et vit à Sonsonate dans un quartier modeste. Il va à l´école mais ne connait aucun moyen pour éviter des maladies sexuellement transmissibles ou des grossesses non désirées. A El Salvador les jeunes qui vivent en milieu rural ne connaissent pas ces méthodes et comme ils ne les utilisent pas ils sont donc plus touches que ceux qui vivent dans un milieu urbain. Cette différence peut s’expliquer grâce au fait que, dans les écoles publiques, l’éducation sexuelle reste limitée. Néanmoins, la Prensa Grafica a publié un article lequel disait qu’a partir du 13 janvier 2010, les écoles publiques seront obligées àenseigner le thème de la sexualité et ses conséquences. On peut donc parler d’un progrès et d’une prise de conscience du gouvernement salvadorien. Cependant, si le gouvernement aurait impose cet enseignement avant, 7568 filles n’auront pas eu une grosses non désirée. Aujourd’hui con compte avec plusieurs méthodes qui nos protègent contre les MST et les grossesses. Par exemple le préservatif masculin et féminin, la pilule féminine ainsi que le spermicide qui son les plus effectifs. On trouve aussi {draw:frame} D’autre part on peut ainsi parler des jeunes du milieu plutôt favorise. Malgré leur bon enseignement sexuel, il a un pourcentage qui ne pratique pas l’usage de ces méthodes.
On a parle avec une ancienne élève du Lycée Français qui est tombée enceinte et a donc abandonner l’école. Généralement, les gens pensent que les jeunes qui assistent aux écoles privées ne vont pas être touches. Pourtant il existe un faible pourcentage des jeunes filles qui ont tombe enceinte et qui assistaient à une institution privée. Le fait que ces écoles aient un bon enseignement sexuel, ne garantit pas que les élèves aillentmettre en pratique ces méthodes. Ceci est un thème tabou, par conséquent les