Aux champs, maupassant
En effet, Maupassant ne met pas en valeur les Hommes dans son texte les Vallin sont décrits comme des parents qu'on peut qualifier d'indignes, car ils vendent leur enfant, et ne le pleure pas. Ils négocient plus d'argent ce qui montre bien que ce qu'ils veulent c'est l'argent. Mais on peut penser qu'ils ont été affectés par son départ car, quand il revient bien des années plus tard, ses parents lui sautent au cou, en l'embrassant, le montrant à tout le village. Pour ma part, je trouve ça impardonnable de vendre un enfant. Mais, je pense que faire du mieux qu'on peut pour que son enfant s'éveille et s'instruise dans de bonnes conditions est un prix à payer. Mais le petit Vallin, n'a pas l'air si malheureux, et n'a pas l'air d'en vouloir à ses parents biologiques.
Les Tuvache quand à eux sont décrits comme des parents « exemplaires », d'autres les verront comme des parents qui ne veulent pas le bonheur de leur enfant, personnellement, je pense qu'ils ont bien fait de le garder, car cela prouve qu'ils aiment leurs enfants, c'est une preuve d'amour, ils ne se laissent pas corrompre pour de l'argent. Mais, c'est vrai qu'on peut tout aussi bien leur mettre sur le dos le fait que le petit Charlot est malheureux avec ses parents. Quand il voit le petit Jean Vallin passer avec ses parents, il a ce sentiment de regret.
La famille d'Hubières, famille de « riches », est montrée sous un mauvais angle, la femme passe pour une capricieuse qui veut tout, tout de suite, elle ne veut pas attendre et serait prête à tout. Elle n'a jamais connu la frustration d'un refus. Elle pleure, crie, comme un enfant dans un magasin qui n'a pas ce qu'il veut, elle fait comme si les enfants étaient des bibelot, des objets « sans valeur », des jouets. Le mari, passe pour un homme facile, qui cède tous les caprices de sa femme.
Les enfants sont traités dans ce texte comme des animaux, des bêtes, ils sont vendus comme du bétail, le prix à