Balle iii
Bâle III
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Les Accords de Bâle III sont de futurs accords de réglementation bancaire[1].
Bâle III se déroule dans le contexte de la prise de conscience que le risque de contrepartie sur les transactions des 500 billions d'euros de produits dérivés a été mal mesuré sur la base d'hypothèses peu contrôlées, en particulier dans le cadre de marchés baissiers.
|Sommaire |
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|1 Contextes |
|2 Objectifs |
|3 Résultats |
|4 Agenda |
|5 Notes et références |
|6 Articles connexes |
|7 Voir aussi |
[pic]Contextes[modifier]
Durant l'été 2010, le gouvernement américain doit augmenter le minimum de fonds propres de 4 % requis par les accords de Bâle[2] ; sa problématique est de ne pas pénaliser les 30 principales banques américaines déjà soumises à Bâle II au niveau international.
Dans l'hypothèse d'un stress sur la dette souveraine de 566 milliards d'euros sur la période 2010-2011, 91 banques européennes (représentant 65% du marché européen en terme de total d'actifs) ont été auditées en coordination avec 20 autorités de supervision nationales [3]. Selon ce scénario négatif publié en juillet 2010, le ratio moyen Tier 1 de ces banques passerait de 10 3 en 2009 à 9 2 en 2011 et seules 7 banques auraient un ratio inférieur à 6 %[4]. Mais force est de rappeler que les banques qui ont fait faillite ou ont été nationalisées en 2008 et 2009 avaient