bladder scan
I.Description Lors de mon stage en soin de longue durée en deuxième année, je suis régulièrement amener à utiliser le bladder scan, instrument portatif destiné à mesurer le volume des urines dans la vessie soit le résidu post-mictionnel (RPM), en cas de suspicion de globe vésical. Je n’avais jamais entendu parler de ce genre de pratique avant d’arriver dans ce service. Lors de ma première échographie vésicale, vers 20h, une fois les résidents couchés. J’étais accompagnée de l’infirmière qui m’expliqua pourquoi et comment faire cet examen. La résidente concernée Mme B est âgée de 83 ans, elle est atteinte de démence dégénérative évoluant depuis 2011. Elle a besoin d’aide pour tous les gestes de la vie quotidienne. Elle est incontinente urinaire et fécale. Mme B se retrouve très souvent en globe, et doit subir un sondage vésical régulier pour l’évacuation de ses urines. La sonde vésicale à demeure qu’elle portait lui a été retirée cet après-midi, et le médecin souhaite une surveillance des urines de la résidente. Il a donc prescrit des échographies à heure fixe dans la journée. Une fois dans la chambre, je me suis présentée à la patiente et lui est expliquer l’examen que j’allais pratiquer. J’ai monté le lit pour plus d’ergonomie, je me suis lavée les mains au SHA. J’ai mis des gants de soins, j’ai prévenu lors de l’application du gel, et lors du commencement de l’examen. J’ai placé la sonde en bas du ventre au-dessus du pubis. Je ne savais pas interpréter les résultats de l’échographe l’infirmière m’a donc expliquée que lorsque le volume vésical est de : < 100ml : il y a absence de rétention. > 400ml : la surveillance des urines doit être rapprochée, des transmissions ciblée faite, et prévenir le médecin.
> 600ml (= capacité