1. Le diagnostic externe du marché de la confiture.

1.1. Les opportunités

• Economique : En France, le taux de pénétration est de 98%, ce qui explique le chiffre d’affaires que la confiture arrive à créé, malgré le fait que le marché commence à diminuer légèrement.

• Socio-économique : En ces temps de crise, les consommateurs sont à la recherche de valeurs qui puissent les rassurer, telles que les valeurs familiales. En effet, à cause de la crise, on préfère revenir a des produits fait-maison, et la saveur est à l’honneur.

• L’offre: Il existe 3 grands groupes mondiaux : Andros (français), Hillsdown (anglais), et Schartau (allemand). On retrouve Andros en leader du marché avec ces 35% des parts de marché en volumes ; il fait donc parti des 3 premiers leaders européens.

• La demande : On retrouve différentes sortes de clients ; dont les consommateurs qui privilégient la tradition ou encore ceux qui favorisent le plaisir et la gourmandise. Pour ces consommateurs, seul le côté artisanal les intéresse et rappeler ce qu’était les saveurs de notre enfance ; ils ne se préoccupent pas de leur santé, ils veulent juste se faire plaisir.

1.2. Les menaces.

• Politique : Il existe de plus en plus de campagnes faites avec le slogan « manger, bouger » seulement les confitures sont remplies de sucre et donc ne sont pas à consommer trop régulièrement. De plus en plus d’organismes luttent contre l’obésité, et les maladies que cela peut entrainer ; mais cela n’est pas dans l’intérêt de la confiture.

• Economique : On constate une certaine décroissance dans les segments « standard » et « extra milieu de gamme », ce qui n’est pas très bon d’un coté économique et ce qui explique la baisse du chiffre d’affaires. Le budget moyen annuel est de 12 euros, ce qui est assez faible et donc ce qui explique la diminution au niveau de la vente de confiture.

• Socio économique : La population est de plus en plus inquiète en ce qui concerne leur santé, le sport, et