Boris vian
Introduction
Nous sommes dans l'après guerre , en 1947 , la France est libéré et les auteurs cherchent à apporter de la gaieté avec leurs œuvres . Vian est l'auteur de nombreux romans comme J'irai craché sur vos tombes et L'Arrache-cœur . Il c'est aussi lancé dans la poésie , le burlesque , le théâtre et la chanson . Son intention en écrivant l'écume des jours était de dénoncer les grands sujets comme le travail , la personnalité avec Partre ou la superficialité de la société . Ce livre traite les différents genres , dont la poésie et l' humour noir . Les chapitres précédents nous informent de la maladie grave de Chloé qui va se dégrader jusqu'à sa mort , Colin essaye en vain de la soigner . Dans le chapitre XLVIII , Boris Vian présente un cadre hostile , l'usine , où il y montre l'enfer du travail . La beauté du début de l'œuvre est remplacée de plus en plus par la noirceur de la vie des ouvriers .
I/ Cadre spatiale
1/Un cadre hostile
L'hostilité spatiale mis en place par Boris Vian dans le chapitre XVIII désigne une fois encore le monde du travail . A travers ces mots , l'auteur se moque de la classe ouvrière qui s'obstinent à aller travailler dans des usines délabrées . L'obscurité comme le montre le groupe nominal « le passage était très sombre » , ou la dangerosité quand l'homme doit se battre contre ces machines démoniaques qui subissent de grosse personnification comme le prouve la phrase « Un homme se débattait luttant pour ne pas être déchiqueté par les engrenages arides » ou encore le groupe nominal « la gueule grouillante de rouages » . Cela montre également certain rapport avec l'enfer .
2/Sons et lumières inquiétants
Il n'y a pas que l'hostilité du cadre qui fait penser à l'enfer , les sons et les lumières renvoient également à cette idée . Vian compare cette usine au porte de l'enfer , car bien que l'on ne voit ni diable ni démon la chaleur des fours remplacent aisément les flammes , le ricanement de Satan