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On distingue, suivant les circonstances de temps et de lieu, suivant l’auditoire, le sujet ou le but, autant de sortes de discours qu’il y a de genres d’éloquence.
À la tribune, c’est-à-dire à l’éloquence politique se rapportent tous les discours politiques, les harangues, les allocutions populaires ou les proclamations militaires.
Au barreau ou à l’éloquence judiciaire, se rapportent tous les plaidoyers, réquisitoires, mercuriales ou philippiques.
À l’éloquence de la chaire et au genre académique, se rapportent tous les exemples de discours épidictique, panégyriques, oraisons funèbres ou éloges, mais aussi les sermons, homélies, prônes, ou dissertations oratoires.
Le discours se partage en un certain nombre de parties plus ou moins essentielles, exorde, proposition ou narration, division, confirmation, réfutation, péroraison ou conclusion, qui sont depuis les Anciens l’objet d’une étude et de règles spéciales dans les traités rhétoriques, tels que De inventione de Cicéron, la Rhétorique à Herennius et l'Institution oratoire de Quintilien.
Cicéron, dans son "De oratore" et "Orator ad Brutum", donne une idée des qualités nécessaires pour faire un bon orateur, maîtrise technique et culture générale et philosophique.
Article détaillé : Rhétorique.
Linguistique[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Discours (linguistique).
On peut, aussi, tenter de définir le discours en faisant référence aux facteurs qui lui sont propres : un je articule des formes-sens en fonction d’un tu. Les fonctions articulatoires incluent, bien sûr, des éléments structurels (structurants) mais aussi persuasifs, sans exclusivité aucune entre ces