Caligula et l'absurde
Lors du premier acte, on assiste au désespoir de Caligula notamment avec ce célèbre passage : « Les Hommes meurent mais ne sont pas heureux ». La lune, qui est pure, va alors se positionner comme une éventuelle solution. On notera un sous entendu sexuel avec la lune pure étant une éventuelle solution comme la virginité une éventuelle même solution. On notera lors de ce premier acte, le premier fait absurde : Il oblige les gens a lui donner leurs biens et les tue par la suite.
Lors du second acte, on perçoit le jeu absurde de Caligula. Il enchaîne folies sur folies : il impose la famine, veut prouver à Rome qu’il est le seul être libre, aussi il se permettra de dire : "On meurt parce qu'on est coupable. On est coupable parce qu'on est sujet de Caligula. Or tout le monde est sujet de Caligula. Donc tout le monde est coupable. C'est une question de temps et de patience." D’après lui, les Hommes ne seront délivré de leur horrible soumission, qu’une fois mort.
Du troisième au cinquième acte, on assiste à la mort préprogrammé de Caligula. Pendant une fête, il oblige le peuple à l’habiller. Il dira : « Les dieux exercent un métier ridicule. » Par cela, il provoque les dieux qui étaient, jadis, les maîtres de l’univers. Mais par cela, il ne fait qu’appliqué sa pensée, en critiquant la soumission. On notera également cette citation : « Comme on ne comprend pas le destin, je me fais le destin. » Par la suite, on assistera à l’aveu de Cherea. Il avoue qu’il veut tuer