Camus, la peste, plan : apparition du premier rat
Albert Camus, est un écrivain et un philosophe. Né en Algérie en 1913, il a passé son enfance dans un quartier pauvre d’Alger. Il se rend à Paris en 1939 puis il publiera L’Étranger en 1942. Il sera un résistant très actif durant la seconde Guerre mondiale. Avec Sartre il fût l’un des plus grands philosophe de l’après guerre. La Peste, d’Albert Camus, est un roman écrit en 1947 dont le personnage principal est le docteur Rieux qui combat sans relâche l’épidémie qui ravage la ville d’Oran. Son genre est précisé « Chronique » (Analyse personnelle de la société contemporaine).
Camus : « La Peste, dont j’ai voulu qu’elle se lise sur plusieurs portées a cependant comme contenu évidant la lutte de la résistance européenne contre le nazisme. […] La Peste, dans son sens est plus qu’une chronique de la résistance. Mais assurément, elle n’est pas moindre. »
L’extrait se situe au moment où Rieux voit apparaître le premier rat mort et que sa femme va partir dans une station de montagne à cause de sa maladie.
PLAN :
I – UNE CHRONIQUE QUI N’EN EST PAS VRAIMENT UNE 1- Eléments propre à la chronique traditionnelle Repères temporels, voc simple avec juxtapositions, objectivité du récit. 2- Ce n’est pas seulement une chronique (Présent/Absent) Narrateur peu présent. 3- Présence de préoccupations intimes Maladie de sa femme (pas vraiment d’amour mais maladie) ; les femmes sont peu présentes dans le roman.
II – LES SIGNES ANNONCIATEURS DE L’ARRIVEE DE LA MALADIE 1- Apparition des rats « premier jour de la peste » Signe du mauvais présage, rythme saccadé. 2- Séparation avec sa femme à cause de la maladie
III – LES REACTIONS FACE AUX SIGNES 1- La collectivité met un certain temps à se rendre compte de la situation Rieux à les pensés ailleurs, population naïve, idem au nazisme. 2- Le concierge refuse de voir le danger Nazisme (camp de concentration que l’on refuse