Camus l etrangere
Chapitre I
1) Le protagoniste, Marceau, raconte l’histoire en première personne. C’est un narrateur interne, intradiégltique, donc il est enterier à l’histoire. Il donne une vision subjective de ce qu’il voit. Il décrit les évènements. Il est très passif comme personnages. Il a des visions limitées, ou il raconte sa propre vie et sa propre vision.
2) C’est la morte de sa mère.
3) Il est détaché et il ne montre pas sa douleur. C’est comme si la morte de la mère soit une chose normale. Les expression qui expliquent cette réponse c’est le fait de décrire la distance, c’est une accumulation de fait pratique, mais aussi le fait qu’il fois demander le permission a son patron, il se sent éloigne physiquement, moralement et psychologiquement.
4) Comme une vie normale et il dise que sa mère a eu de la difficulté a aller à l’asile à cause des les habitudes. En effet, sa mère vive une vie caractérisée par l’habitude. Il y a l’idée de l’absurde. Le sentiment de l’absurde nait de la constatation de cette habitude. Le sentiment d’acceptation vienne après le sentiment de l’absurde. Le sentiment de l’absurde c’est la conscience de ces habitudes, chaque matin je fais les mémés cochées. Alors, le lecteur lise ici la description de M. qui décrit sa mère dans une condition d’absurde.
5) Ils lui demandent s’il veut regarder sa mère, mais il réponde «no» sans expliquer pourquoi. Il dise qu’il ne sait pas ce qu’il fait la. C’est une exercice de distance par rapporte au personnage. Il nous décrit sa vision et il nous arrête quand nous voulons savoir plus (di più). Il a envie de boire un café au lait et de fumer une cigarette, mais il ne le fait pas parce que ce n’est pas respectueux.
6) Il se rende compte qu’il ne connaît pas les amis de sa mère. Il les décrit comme de vieux qui attendent …
Les personnages sont toutes pareils, il fait des descriptions physiques et il a l’impression que ces personnes le juge et ca c’est ridicule pour lui. Il se voit