Le Romantisme d’écrit ce que les auteurs du 19e siècle (1800-1850) voulaient faire savoir en générale au peuple, soit le rêve, l’amour, la fuite du temps et la mort. Le dernier jour d’un condamné s’inscrit dans le courant littéraire du Romantisme. Victor Hugo est un des plus grands écrivains de ce courant littéraire. Né en 1802, Victor Hugo, il vit deux révolutions, traverse deux empires, trois monarchies, deux républiques et passe 19 ans en exil. La forme et les thèmes se retrouvent dans la fuite, soit physiquement ou par le temps et par la création d’un monde meilleur intérieur, mais qui détériore l’être de l’extérieur.
C’est par le biais du thème de la fuite, très présent dans le roman autobiographique de Victor Hugo, que le prisonnier, personnage principal de ce roman, essaie de fuir son destin, soit par la mort (condamnation) ou par une tentative d’évasion. En effet, l’espoir du personnage ne s’accroche qu’à quelques fils qui le relit au monde extérieur. Sa dernière raison de vivre était pour lui, sa fille, depuis sa condamnation il ne pensait qu’à ce qu’il allait lui arriver quand il serait mort. En voyant qu’elle ne le reconnaissait plus, il n’y a avait plus aucune raison pour lui de se battre pour sa vie et c’est à cet instant qu’il a accepté son destin qui l’attendait, soit la mort.
« - Veux tu que je sois ton papa ? […] – Non mon papa était bien plus beau. […] Et je suis retombé sur ma chaise, sombre, désert, désespéré. À présent ils devraient venir ; je ne tiens plus à rien ; la dernière fibre de mon cœur est brisée. Je suis bon pour ce qu’ils vont faire. »

Pendant un instant il était heureux de revoir sa fille pour une dernière fois, mais sa joie n’eu pas resté longtemps. Dès qu’il c’est rendu compte qu’elle ne le reconnaissait plus, il est retombé dans sa déprime qui le hantait depuis sa condamnation. Pris dans un petit espace clos, il cherche activement des options pour pouvoir fuir ce qui l’attend. En voyant arriver un nouveau gendarme il vue