Voltaire : Candide chapitre 30

Le chapitre 30 de Candide, écrit par Voltaire en 1759 est le dernier chapitre du récit : c’est l’exipit. Il s’agit de la fin de l’odyssée de Candide pour retrouver sa dulcinée Cunégonde. Candide s’est arrêté en Bulgarie, à traversé l’Amérique du Sud et est revenu en Europe. Fatigué au terme de son voyage des misères humaines, il finit par s’installer en Turquie où il retrouve ses compagnons d’infortune : Cunégonde, la vieille, Papette, le père Girofle, Cacambo, Martin et Pangloss.
Dans ce chapitre, Candide fait deux dernières rencontres pour achever sa formation : un derviche et un vieillard. A travers eux, il comprend définitivement que la réalité diffère du rêve et que le monde n’est pas à l’abri du mal. Candide se choisit donc une morale simple et sage qui repose sur le travail.

• 1er phrase montre l’empirisme il va tirer des lois en fonction des expérience « profonde » son empirisme n’est pas léger « me parait » il a la prudence du philosophe seul l’intelligence permet d’avoir une influence sur le monde
• Pangloss est le 2eme a réagir il est dogmatique il fait que des référence a ce qu’on dit d’autres personnes il ne fait preuve d’aucune modération il est la caricature du philosophe qui parle beaucoup pour démontrer quelque chose in ne peu réfléchir tout seul pour admettre que le pouvoir politique est dangereux il passe par des 10ene d’exemple alors que candide observe la vie des hommes plutôt que leurs écrits
• Candide va monter qu’il faut travailler et 1 fois de plus Pangloss fait encore le rapprochement a un livre il ne faut pas diriger notre vie exclusivement par la parole de dieu cette référence de Pangloss a la bible n’est pas innocente
• On va avoir la présentation de la communauté et chacun a la droit a une phrase bilan c’est candide qui deviens le chef
• Ils ont tousse accepté qu’il faut travailler en communauté le bonheur individuel et inséparable du bonheur collectif. ce n’est pas les bonheur parfait