Candide
Introduction : Ce chapitre 30 est le dernier chapitre du récit : c'est l'excipit.
Ac ls derniers diamants d’Eldorado, C va acheter 1 petite métairie près de Constantinople, où il va réunir ts ses compagnons. Il arrive à la fin d'1 quête, celle de la bien aimée puisqu'il retrouve aussi sa chère Cunégonde et la vieille (ainsi que Cacambo). Même si la jeune baronne est devenue bien laide, C ne renonce pas à l'épouser par fidélité à ses engagemts (c'est le modèle même de l'amoureux). Pr compléter ses réflexions philo sur ls problèmes du mal et du bonheur, il va consulter un derviche et un vieillard, qui lui donneront une leçon de sagesse. Ce texte comprend 2 gds mouvemts : le 1° ac un long discours de Pangloss interrompu par un bref commentaire de C et de Martin qui prônent la nécessité du travail et le 2°, // au 1°, ds lequel un nouveau développemt de Pangloss est arrêté par C qui l’invite cette fois à l’action. Par l’impce quantitative, la parole de Pangloss prédomine, ms le mot de la fin est pr C. Parvenu au terme de son apprentissage intellect, à la maturité, il peut répliquer à son maître et donner la leçon du livre.
Arrivé à une maturité intellect = « fit de profondes réflexions »
1. Le salut par le travail L1 à 28
La maturité de C se traduit ds la 1° phrase par l’express° « profondes réflex° » L2 et par le retour ds sa métairie L1 qui est un peu l’image symbolique qui exprime 1 retour sur soi-même. Il réfléchit sur ls paroles du bon vieillard L3 dt la leçon est que le travail procure un bonheur simple ms + sûr que ls gdeurs illusoires ds « six rois » détrônés que C a rencontré à Venise L5,6. P entame alors 1 tirade sur le thème conventionnel de la fragilité ds grandeurs royales « ls grandeurs st fort dangereuses, selon le rapport de ts ls Philosophes » L6,7. Lieu commun, entraîne la proliférat° d’1 discours qui énumère ls grds rois de l’Hist universelle ayant fini misérablemt. Il suit 1