Etude de cas ZARA p. 92, 93
1. Utilisation de la méthode PESTEL
Politique : En délocalisant ces usines de fabrication, les taux de fiscalité sont moins élevés. Zara s’occupe de tous, tandis que ces concurrents sous-traitent.

Economique : Les prix des vêtements sont moins chers, car les coûts de fabrication sont plus bas. Ceci est lié à une délocalisation et donc à un coût de main d’œuvre moins élevés (Asie, Turquie....). Cependant cela augmente les délais de livraison (2 à 3 mois).

Social : C'est un marché ou les clients de certains pays sont très attentif à la mode (France, Espagne, Italie, Japon, Royaume-Uni)
Néanmoins, comme en Allemagne et aux USA, les clients sont moins centrés sur la mode. Zara développe sa clientèle avec une relation interactive et directe, sans recours à la publicité.

Technologique : Le fait de ne pas faire de communication (publicité télévisé, radio...), permet à Zara de faire de grandes économies et d'investir dans d'autres domaines (Zara-Home, cosmétiques).

Légal : Réduction du taux de chômage grâce à l’ouverture de plusieurs magasins partout dans le monde. (400 magasins dans 70 pays)

2. Zara prend en compte les acteurs de son microenvironnement en misant sur l’investissement dans l’immobilier, en revanche, l'entreprise ne réalise pas d'actions de communication. Cette méthode lui permet d’entretenir une relation directe et interactive avec la clientèle et augmente la fréquence des visites. De plus, pour répondre aux attentes des clients, l'entreprise renouvelle sans cesse ses produits. Les vitrines de Zara sont identiques dans tous les magasins. Pour finir, la gestion de l'entreprise se fait dans un espace géographique restreint pour faciliter les imprévus, être plus réactive...

3. Le problème de management qui pose la prise en compte de l’environnement de Zara est que la stratégie de l’entreprise ne fonctionne que sur les marchés où les clients sont attentifs à la mode tandis que pour ceux où les clients sont