Chapitre 1 Géographie second semestre 2UE Université
Catastrophes d’origines naturelles démontrent tous l’exposition de nos sociétés et leur fragilité face à ces évènements majeurs.
Il n’y a pas que es risques qui sont dit naturel, il y aussi eux qui sont d’origine technologiques, ils sont issus d’activité humaine. Généralement ils sont liés à la production de biens ou d’énergie.
Les catastrophes technologiques semblent avoir une gravité moins importante qu’un séisme car pas de victime humaine.
Il y a des nouveaux risques liés au développement de l’informatique.
Ces risques augmentent parce que le niveau de vie global des populations augmente, notamment dans les pays riches et ces sociétés là ont tendance à refuser le risque parce qu’elle se considère supérieure, elle exige un niveau de sécurité de plus en plus important.
On a une perception du risque qui évolue dans le temps, des situations considérées comme extrêmement dangereuses dans le passé sont beaucoup mieux maitrisées aujourd’hui.
Tout cela n’est pas valable pour les pays en développement, le risque n’y est pas perçu de la même façon.
Est-ce que nos sociétés actuelles sont plus exposées qu’avant ? Plus vulnérables ? Quelles sont les répartitions de ces risques ? 1-1 : Les principales définitions :
En général, les risques résultent du croisement entre la probabilité qu’un phénomène destructeur se produise et les dommages possibles que ce phénomène pourrait entrainer sur les biens et les personnes.
Ce risque est évalué sur une zone géographique précise. 1.1.1. L’aléa :
Il recouvre tout ce qui est phénomène potentiellement destructeur, quelque soit le type de risque. Ces phénomènes sont exprimés sous une forme de probabilité.
L’aléa crue : dans un endroit donné est caractérisé par une fréquence, une magnitude.
Aléa : c’est la probabilité qu’un évènement se produise. Il est conditionné par des facteurs de prédispositions. Il doit être défini par une intensité (comment et pourquoi) et une occurrence spatiale (où) et la