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Chapitre 27 Le siècle des lumières

3228 mots 13 pages
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PARTIE 2 Histoire artistique et culturelle CHAPITRE 27 Le siècle des Lumières (le xviiie siècle) Le siècle des Lumières (le xviiie siècle) Objectifs du chapitre Comprendre ce que symbolisent les Lumières. Prendre conscience des deux versants du xviiie siècle, siècle de la raison scientifique et philosophique, mais aussi de l’émotion et de la sensibilité esthétique. Être capable d’analyser des œuvres d’art et de les relier à des textes contemporains. OBSERVER 1 1. Identifier les fonctions du « philosophe» …afficher plus de contenu…

c. Ce texte est représentatif du mouvement des Lumières : – parce que l’auteur analyse les tenants et les aboutissants du travail : à voir travailler, à interroger les ouvriers, et à dessiner les instruments, les machines, et même le local (l. 2-5) ; – parce que l’auteur souhaite diffuser le savoir au peuple, et faire ainsi œuvre de formation et d’information, dans un but didactique ; – parce que l’auteur souhaite attirer l’attention sur des réalités sociales, comme la condition des ouvriers dans les manufactures (le projet de l’Encyclopédie a ainsi un but politique) ; – parce que l’auteur emploie une tonalité polémique. d. Les auteurs de l’Encyclopédie souhaitent que l’on puisse dessiner les instruments, les machines, et même le local (l. …afficher plus de contenu…

Loin d’être dans la maîtrise, Mme du Châtelet souhaite l’assouvissement des passions : On n’est heureux que par des goûts et des passions satisfaites (l. 13-14).b. Proposition de paragraphe : Le bonheur tel que le conçoit Mme du Châtelet est caractéristique du siècle des Lumières à plusieurs titres. Tout d’abord, l’auteur valorise les émotions, comme en témoigne le chiasme des lignes 14 à 16 : goûts/passions/passions/goûts. Le terme de «passions» est martelé dans le texte six fois, ce qui souligne la place accordée aux émotions. De plus, pour les philosophes des Lumières, le bonheur n’est plus dans un au-delà après la mort, mais bien ici et maintenant, hic et nunc : nous n’avons rien à faire dans ce monde qu’à nous y procurer des sensations et des sentiments agréables (l.

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    y a quelque chose de grand dans les passions”, qu’elles motivent et donnent de l’élan. Puis vient la réfutation qui commence par une anaphore: une répétition des “Si” • Si l'âme doit être considérée seulement comme une impulsion… • S'il faut aux hommes sans passions l'intérêt d'un grand spectacle… • s'ils veulent que les gladiateurs s'entre-détruisent… … alors cela peut certes être efficace, mais cette anaphore introduit surtout une réfutation par caricature : la comparaison avec les jeux du cirque des gladiateurs romains, qui est une image forte des foules excitées par des passions vulgaires et violentes. Vient ensuite une nouvelle anaphore : une répétition des « quel » • quel bien en résultera-t-il … • quel bonheur général … qui introduit l’argument final : l’inutilité d’une utilisation des passions pour motiver les foules, car « tout l'élan nécessaire à la vertu existerait sans ce mobile destructeur » qui achève….

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    et les trois frères Horaces pour Rome. Au final, les deux frères Horaces et les trois frères Curiaces meurent. Horace doit maintenant affronter le désespoir de sa sœur Camille qui a perdu ses frères et son fiancé lors du combat. Cet extrait se situe à l'acte IV, scène 5, v.1268 à la fin. Qu'est-ce qui incite Horace à assassiner sa sœur à l'issu de la pièce ?….

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  • commentaire de texte sur Horace de corneille
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    Ce texte est un extrait de le pièce de théâtre tragique « Horace » écrite par Pierre Corneille publié en 1640. Cette extrait est en majorité une tirade. Cette pièce prend son intrigue dans une période de l'histoire romaine. Dans cette pièce deux famille se font une guerre fratricide : les Horaces (de Rome) et les Curiaces (d'Albes). Dans l'acte IV Horace donne la mort à l'amant de sa sœur, Curiace.….

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  • La fonction du monstre dans l’imaginaire humain
    691 mots | 3 pages

    Tous ces êtres dénotés par leurs passions obscures, leur concupiscence illégitime, leur désir du luxe et du jeu ne coïncident en aucun point avec les normes de la société. Nonobstant, ils ne cessent d’envoûter les commères et les carabistouillateurs de ce monde. Ainsi, il est intéressant de découvrir la fonction du monstre dans l’imaginaire humain. Fascination, peur, pitié, répulsion; ils permettent d’interroger l’être humain et de le confronter quant à la différence.….

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  • Rousseau, disscours sur l'origine l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes
    1740 mots | 7 pages

    Définissons tout d’abord ces deux termes la passion est les phénomènes dans laquelle la volonté est passive, puis la raison apparait comme le propre de l’homme, la faculté qui commande nos actes, notre pensée. Ici, Rousseau juge que les passions ne sont pas les causes du mal et du malheur des hommes, les hommes sont bons par nature. Il nous montre que les passions sont bénéfiques à l’entendement humain. Le philosophe se demande en effet s'il n'existe pas un apport mutuel entre ces deux dispositions mentales, cherchant ainsi à savoir si l'entendement, ne doit pas en réalité beaucoup aux passions, et si, réciproquement, les passions ne doivent pas elles mêmes beaucoup à l'entendement. La thèse de Rousseau est d'une extrême netteté : " l'entendement humain doit beaucoup aux passions, qui, d'un commun aveu, lui doivent beaucoup aussi " ( Ligne 1-2 ).….

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  • Corpus mme de clèves, octave et swann
    364 mots | 2 pages

    Mme de Clèves, Octave et Swann sont agités par des sentiments amoureux contradictoires, qui mêlent passion et jalousie. Pour faire percevoir au lecteur ces sentiments, les romanciers recourent à différents procédés. Tout d'abord, ils plongent le lecteur dans l'intimité du personnage, soit par le biais de la focalisation interne (texte 1 et 3), soit par celui d'une narration à la première personne (texte 2). Ainsi dans les textes 1 et 3, le narrateur adopte le point de vue respectivement de Mme de Clèves et de Swann, comme le montrent les verbes de pensées ou de sentiments (texte 1 : "elle n'avait pensé", "elle trouva" ; texte 3 : "il eut [...] honte", "il éprouvait").….

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  • La Princesse de Clèves, L'ultime entrevue
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    C’est un trait janséniste que de proclamer l’impuissance de l’homme face à la passion, mais ce refus de l’amour n’empêche pas la Princesse de dévoiler ses sentiments (305). Surtout elle révèle sa connaissance approfondie des passions humaines. Sa morale est tout entière liée au postulat de l’inconstance du cœur (306) → la P. a une passion, ne peut lutter contre elle mais elle peut la connaître, à force d’habitude, et composer avec elle. B) la victoire du « repos »….

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    La question de corpus Dans ce corpus composé de 3 textes, « Pensées » de Blaise PASCAL (1670), « Discours sur le bonheur » de Mme de CHÂTELET (1779), et « le Pigeon puni de son inquiétude » (Fable XX) issu du recueil de Fables et opuscules pédagogique de FENELON, les auteurs défendent différemment leur conception du bonheur. Il s’agira ici de comparer les différents moyens utilisés par les auteurs pour défendre leur propre conception du bonheur à travers leur texte. Nous verrons d’abord la conception du bonheur à travers les textes 1 et 2, qui sont tous deux reliés par une façon d’argumenter proche. Ensuite, nous verrons la conception du bonheur dans le texte 3 qui est défendue différemment.….

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  • Choderlos de laclos l81
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    L’un est vu parfois comme l’opposé de la passion, tandis qu’une autre fois, l’émotion est conciliée à celle-ci. Citations : Dissertation sur les passions : SECTION VI, §1 « Ainsi, toute nouvelle émotion qui procède de sa première réflexion vient naturellement renforcer son courage » La Cousine Bette : Page 62, Chapitre 9 « Cette fille qui, bien observée, eût présenté le côté féroce de la classe paysanne, était toujours l'enfant qui voulait arracher le nez de sa cousine, et qui peut être, si elle n'était devenue raisonnable, l'aurait tuée en un paroxysme de jalousie. » Chez Kant, passion et émotion s’opposent.….

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  • Dissertation
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    Que penser en effet d'un individu qui se laisse entièrement gouverné par ses passions ? Ne faut-il pas au contraire s'en détourner, s'en libérer en cherchant à les connaître afin de mieux les maîtriser ? Entre leur rejet inconditionnel - au nom de la raison et de la morale - et la valorisation sous la forme d'une philosophie de l'action ou encore d'une esthétique des passions, quelle place l'homme peut-il et doit-il leur accorder ? Une science des passions, au sens d'un bon usage, est-elle possible? Nous verrons d'abord que , de Platon à Kant, les ennemis de la passions ont été nombreux, la condamnant au nom de la vérité, de la sagesse, de la liberté et de la dignité humaine.….

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  • Dissertation
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