1- Dossier 1
A- Le premier tableau permet de faire le lien entre production, répartition des revenus et consommation. La production amène une création de richesse mesurée par le PIB. Cette production donne lieu a un partage des revenu entre tous ceux qui on contribuer : les salariés, les apporteurs de capitaux et l’état. La répartition primaire puis la redistribution permet de définir le revenu disponible des ménages. Cette production et les revenus qui en découlent vont donner lui a des opérations de consommation et d’épargne. Le tableau 2 du document permet de voir que l’augmentation du revenu brut se traduit par des variations en termes de consommation finales des ménages et de taux d’épargne. Par exemple en 2007 le revenu disponible brut augmente de 5.4%, il se réparti en une augmentation de 4.5% de la consommation et de 0.7% pour le taux d’épargne.
B- La mesure du pouvoir d’achat correspond a l’évolution du revenu disponible brut corrigé de la hausse des prix consommé, l‘inflation est donc prise en compte dans ce calcul et la dépense de consommation finale est ici en valeur. Pour comparer ces deux chiffres il est nécessaire de calculer la dépense de consommation en volume sans l’inflation. Ainsi si l’augmentation du pouvoir d’achat est supérieur a celle de la consommation ce qui est le cas en 2001, 2002, 2006,2007 (augmentation du taux d’épargne). En 2003, 2004,2005 la consommation progresse plus vite que le pouvoir d’achat, ce qui oblige les ménages à puiser dans leurs épargnes. Désormais les ménages consomment des biens et services liés au TIC ainsi leur nouveau mode de vie et de consommation ont généré des couts supplémentaires.
C- Le PIB en valeur ou en prix courant n’est pas corrigé des effets de l’inflation contrairement au PIB en volume. Le rapprochement depuis la fin des années 80’ traduit une forte baisse du taux d’inflation qui après avoir dépassé les 10% au cours des années 70’ est revenu a des niveaux beaucoup plus faible.
D- Dans le doc 5