Charles-Louis de secondât, connut sous le nom de Montesquieu, fût un grand écrivain, moraliste et magistrat qui ont beaucoup voyagé. Saisi d’une passion pour les mœurs de son temps et la réflexion sur les sciences, il devient l'auteur de nombreux textes qui critiquait la société française. Il fait partie du siècle des lumières, qui sont très pousse sur les sciences, la philosophie et la dénotation des mœurs. Dans les Lettres persanes de Montesquieu, on note la présence a plusieurs reprises de satire. Celle-ci critiquait la mode qui affecte les femmes de son temps et le mode de vie des Parisiens ainsi que le pouvoir royal et papal jugé excessif.

En premier lieu, dans la lettre C (100) des lettres persanes on parle de la mode qui affecte le mode de vie des femmes. Cette lettre évoque les femmes dictées pas la mode et la vitesse à laquelle elle change : une femme venant d’un milieu aisé qui ne se tient pas à jour face à la mode est rejeter par la société, leurs styles de vie, leur manière de marcher, de parler et d’agir était régit par la mode. Les dames de ce temps accordaient une importance cruciale à la mode, comme le montre la citation suivante : « Une femme qui quitte Paris pour aller passer six mois à la campagne en revient aussi antique que si elle s'y était oubliée trente ans ». En effet on voit par l’utilisation d’une figure de style : l’hyperbole. Montesquieu l’utilise pour dénonce l’influence de la mode de son temps. Les femmes sont dictées par la mode qui change trop vite. D'autre part, la mode affecte les gens financièrement. Celle-ci ,change rapidement ainsi les femmes doivent acheter des nouveaux vêtements, bijou, parure, qui coutent extrêmement cher, comme le montre la citation suivante : « Les architectes ont été souvent obligés de hausser, de baisser et d'élargir leurs portes, selon que les parures des femmes exigeaient d'eux ce changement » plusieurs procédés peuvent être vu dans cette citation, les plus forts sont l’ironie et l’exagération.