Charte d'amiens 1895
1895 CGT
1906 Congrès Amiens 8 au 16 octobre : Charte d’Amiens 824 voix/ 3 contre fin XIXème :
Années 1860 : le mouvement ouvrier reprend vie ; mais très hétérogène : proudhoniens, bakounistes, blanquistes
25 mai 1864 : la grève cesse d’être un délit. La loi Emile Ollivier modifie les articles 414-416 du Code pénal :visant la grève. Depuis la Loi Le Chapelier 14-17 juin 1791 qui interdisait les « coalitions » la grève était sévèrement réprimée. Les ouvriers peuvent se grouper pour établir des revendications collectives
Multiplication des chambres syndicales
1867 : statut légal des coopératives
1868 : les chambres syndicales sont tolérées (circulaire du ministre de l’intérieur aux préfets)
Le Second Empire cherche à contrôler les mutuelles ouvrières ; certains patrons, à la fin de l’Empire, sous la IIIème République constituent des mutuelles (Société lyonnaise des secours mutuels ; caisse des retraite pour les ouvriers de la soie après 1848 ; 1853 Emile Peugeot. Une bataille entre ouvriers et patronat pour le contrôle des mutuelles
1871 : la Commune, 1er gouvernement ouvrier ; dislocation du mouvement socialiste ; une gamme de courants
1886 : Création de la Fédération nationale des syndicats (FNS), d'inspiration guesdiste.
1887 : Création de la Bourse du Travail de Paris.
1892 : Création de la Fédération des Bourses du travail, marquée par le syndicalisme révolutionnaire de Fernand Pelloutier.
1895 : Congrès constitutif de la confédération générale du travail CGT à Limoges du 23 au 28 septembre. Les principaux piliers en sont la fédération du livre et celle des cheminots, mais de nombreux métiers restent hors de la CGT. Qui remplace Fédération nationale des syndicats.
1900 : Création du journal « la voix du peuple », organe de la CGT.
1902 : Congrès de Montpellier unité. La Fédération des Bourses du travail s'efface en tant que centrale et ses organisations s'intègrent dans la CGT. Cette unité réalisée constitue un pôle