Chronique

Ma chronique se porte sur un roman d’Ernest Jünger dont le titre est Orages D’acier,
Ernest Jünger qui est un écrivain allemand a participé a la 1ère et a la 2e Guerre mondiale.

Ernest Jünger est un héros militaire, car il a été blessé quatorze fois et a souvent combattu en première ligne dans les troupes de choc à la fin de la 1ere guerre. Il a publié Orage d’acier en 1920 donc 2 ans après la 1ère guerre mondiale

Le roman raconte l’histoire d’un jeune lieutenant de l’armée allemande engagé volontaire lors de la Première Guerre mondiale. Ce jeune lieutenant n’est autre qu’Ernest Jünger, car c’est un récit autobiographique sur son expérience de la Première Guerre mondiale. Le livre ce compose de plusieurs courts chapitre portant chacun le nom d’un combat.
Dans ces chapitres Il raconte les campagnes d’un soldat durant quatre ans. Il raconte les occupations quotidiennes du combattant : la garde, le repos dans l’abri, l’attente, la fatigue...
Il retranscrit les seize carnets qu’il a tenus durant toute la période de la guerre.

Contrairement aux autres témoignages littéraires publiés sur la guerre des tranchées, ici, la peur ou le sentiment d’horreur face au déchaînement de la violence ne sont que brièvement perceptibles.
Quand il s’agit de décrire les blessures ou les cadavres, la description demeure « clinique » et détachée « En face de nous ce dresse une de ces colline, après avoir enjamber tout ces cadavres, nous étions enfin chez nous. » La langue de l’auteur prend en revanche plus d’élan lorsqu’il s’agit de décrire l’émotion du combat, l’ardeur qui s’empare de lui au moment de l’assaut, « Quand nous avançâmes, une fureur guerrière s'empara de nous, comme si, de très loin, se déversait en nous la force de l'assaut. Elle arrivait avec tant de vigueur qu'un sentiment de bonheur, de sérénité me saisit. »
On ce rend compte dans ce livre que l’auteur est un véritable combattant, il s’est « dissocié » de l’horreur, et est devenu