Rédaction Vendredi, la dernière sonnerie retentit dans tout le collège, je fus le dernier à sortir pour éviter les bousculades, sans oublier que nous étions en vacances. Un vacarme impressionnant résonnait, tout le monde s'empressait de partir, même les professeurs. Mes parents m’attendaient à la sortie, nous partîmes enfin en vacance. Nous étions en vacance dans un camping au bord d'une très belle montagne et ou la campagne s'étendait à perte de vue. Comme à mon habitude, je me réveillais tranquillement, j'ouvris la tente et restais abasourdie par le spectacle qui se déroulait devant mes yeux, il faisait sombre, noir encore nuit, je me demandais ce qui arrivait, je regardais mon réveil pour avoir l'heure. Je vis afficher neuf heures, le jour n'était pas levé, je restais toujours impressionné, personne à l'horizon. Je m'empressais de m'habiller et je partis faire le tour du camping. En courant, je percutais quelqu'un et je l'aidais à se relever. C'était une amie, je l'interrogeais sur ce qu'elle avait constaté. Elle ne répondit pas, mais je pu m'apercevoir, qu'elle avait pleuré. Elle tremblait, elle regardait autour et ses yeux traversèrent les miens. Je l’a réconfortais malgré mes angoisses, et cette peur qui nous envahissait tous les deux. Je regardais encore l'heure, dix heures! Toujours par la trace d'un rayon de soleil. L'angoisse me prit, la tête me tournait, je m'asseyais pour reprendre mes esprits scrutant le ciel, je remarquais alors quelque chose d'inattendue. Il n'y avait pas d'étoile, et encore moins de lune. Le ciel ressemblait à une grande bande noire vide et lugubre. Je proposais à mon amie d'aller réveiller ses parents, elle était effrayée par ce que nous étions en train de vivre. Je me levais et partis faire de même. Je retournais au bungalow, dès que je fus arrivé, j'ouvris les tiroirs à la recherche d'une lampe de poche, Je ne trouvais que des bougies et un briquet, mes parents se réveillèrent et me regardèrent pleurer, étonner, sans rien dire Je