Colloque sentimental
Il est a l'origine de la notion des "poetes maudits".
Sont second recueil Les Fêtes Galantes, publier en 1869 est composé de 22 poemes.
C'est dans ce receuile que nous retrouvons de poeme « Colloque sentimental ».
C’est un poème de 8 distiques de décasyllabes en rimes suivies.
Dans celui ci, Verlaine évoque la rencontre de deux êtres qui se sont aimés, mais qui aujourd'hui n'ont plus rien en commun.
Nous nous demanderons de qu'elle façon le poête exprime sont vécus du néant.
Pour répondre à cette problématique, nous étudierons dans un premier temps le cadre et les personnages, puis le dialogue de ce poeme, puis enfin la parole du poête.
I. Cadre et personnages a. Cadre imparfait : "était" (v.13) ; "marchaient" (v.15) => début et fin de poême non déclaré.
On ne sait pas quand ça commence.
article défini : "le" (v.1 & 5) => Le poete fait comme ci on connaissait les lieux.
Paradoxe car le lieu est indéfini.
triple caractérisation : "vieux" "solitaire" "glacé" (v.1 & 5) => plonge dans une saisonnalité
(l'hiver), parc plonger dans la mort / décors sinistre, solitude sentiment d'abandon.
Le froid = décors, symbolyse la relation des deux individus.
b. personnages rime : "glacé" (v.5) ; "passé" (v.6) => Ce sont des êtres glacés appartenant au passé.
Ils sont sans identitées, ce sont des fantômes.
champ lexical de la mort : "morts" (v.3) ; "spectres" (.6) ; "âme" (v.10) => montre qu'ils sont morts / personnes immatérielles.
II. Le dialogue a. Les points communs présent de l'indicatif : "bat-il" (v.9) ; "vois-tu" (v.10) => Les deux spectres sont bloqués dans le présent. Il n'y a pas de futur possible. Ils sont morts (appartiennent tout deux au passé)
opposition : "parole" (v.4) ; "levres molles" (v.3) => Souligne l'étrangeter, l'existance de parole. Ils sont morts.
langage soutenus : "extase ancienne"(v. 7) ; "l’âme en rêve" (v. 10), "L’espoir