6 Octobre 2013
Introduction à la philosophie - PH111

Tout d’abord, je vous parle de texte, de l’auteur, et l’ambiance. Apres je vais vous présenter les problèmes avec une conclusion générale.
C’est un dialogue de Platon qui écrivit beaucoup de textes dans lesquelles il parla de toutes les idées que l’homme interroge toujours. Particulièrement sur la vertu. La vertu, il est un concept très important dans ce dialogue car Socrate discutais avec Menon et Anytos qui est un politicien athénien très riche dans son âge.
Quand la démocratie devenait un pouvoir très fort, les Sophistes qui sont maîtres de la rhétorique et de la vertu, ont apparu. Tandis que Menon demandait que la vertu fût enseignable, Socrate a lui répondu qu’il ne savait rien sur elle. De plus personne ne connaissait la vertu, selon Socrate. Pour lui, il n’y a pas d’enseignement. Il n’existe que la maïeutique qui est un art de faire accoucher. C’est un concept grâce auquel on rappelle les informations et les pensées. Cela nous montre ces questions : Y a-t-il un professeur de vertu ? Est-ce que la vertu est une information ?
Quant à le problème de géométrie que Socrate a demandé à un esclave, il a forcé cet esclave pour résoudre ce problème. Il a réussi bien qu’il ne savait pas de mathématiques. C’est parce qu’il connaissait déjà mais inconsciemment. Socrate a fait accoucher les informations pour que l’esclave puisse rappeler comment on faire ce problème.
Donc en conclusion, il faut chercher les choses inconnues. La vertu est un inné pour les gens qui l’ont. On est déjà capable de faire tout ce qu’on veut mais on ne sait pas. On attend quelqu’un pour faire nous rappeler.

Zeynep Bektaş