Commentaire comparé lamartine / hugo
On répondra a ses questions tout d’abord en analysant la syntaxe des poèmes puis ensuite nous étudierons la vision propres de chaque auteur sur ce qu’est un poète.
Ces poèmes ont tout deux un registre lyrique prononcé. Le poème de Lamartine est composé de 4 quatrains et les vers sont écris en alexandrin. On y retrouve des procédés d’allitération : v.2 « Lieux où le vrai soleil éclaire d’autres cieux », allitération en « L ». Les rimes sont écrites de manière embrassée. L’extrait des Contemplations lui est composé de 2 quintiles, les vers sont aussi écris en alexandrin. Le procédé d’allitérations est aussi utilisé : en « S » aux vers 8 : « Mais que ce saphir sombre est un abîme obscur ! » ; et ver 10 : « Des anges frissonnants qui glissent dans l’azur. »
Le premier texte est écrit au présent de l’indicatif, a l’imparfait hypothétique et au présent de l’impératif. Les modalités sont interrogatives, exclamatives et déclaratives. Le second texte est écris au présent de l’indicatif la modalité est en majeur partie déclarative.
Les figures de style dominantes sont l’anaphore dans le texte de Lamartine, vers 5 à 8 : « Là, je m’enivrerais - Là, je retrouverais - Et ce bien idéal – Et qui n’a pas de nom », et la personnification, vers 1 à 2 : « Pendant que le marin, qui calcule et qui doute, Demande son chemin aux constellations ».
Le poème de Lamartine dégage une impression de désespoir : le poète amoureux ne sait