Dans cette extrait de la Bête humaine, l'un des vingt tome des Rougon – Macquart, écrit par Émile Zola à la fin du 19e siècle ; écrit en 1890 pour la Bête humaine. L’extrait de ce livre parle d'un locomotive, la Lison. En quoi la présentation de cette locomotive est-elle une description de de l'une des Bêtes humaines ? En premier lieu la description réaliste et en deuxième lieu l'idéalisation de la Lison.

Dans cette extrait , on peut remarquer une description de précision de la locomotive comme « d'une élégance fine et géante » L.5 mais aussi une description plus organique « poitrail large » L.6 ou encore « ses reins allongés et puissants » L.6. La description de cette machine mêle deux types adjectives qualificatif : les adjectives superlatifs de grandeurs et les adjectives de beauté, de finesse comme par exemple « avec des grandes roue légères » L.5. Ainsi, la description de l'extrait part sur une personnification avec quelques traits d'animaliers «la pression dans la force » L.7.
Donc, on peut affirmé que cette machine est différente « se trouvait déjà en tête d'une voie, destinée à partir la première » L.2-3 cela montre le privilège de partir en premier. Avec les description précédentes, elle montré différente des autres et à la limite de exception « toute cette certitude qui font la beauté souveraine des êtres de métal, » L.7.
Même exceptionnel, car « Jacques, par tendresse, en avait fait un nom de femme, La Lison » L.10. La Lison est considéré comme une machine exceptionnel qui parmi d'en autres, à des qualités rares «c’était en vérité quelle avait des qualités rares de brave femme »