commentaire kant : grandeur du sujet conscient, pouvant dire je

420 mots 2 pages
Le texte étudié est une oeuvre de Kant, c’est un philosophe allemand du XVIIIe siècle. Kant a exercé une influence considérable sur l’idéalisme allemand, sur la philosophie analytique, sur la phénoménologie et sur la philosophie moderne. Le texte en question se nomme Kant : Grandeur du sujet conscient, pouvant dire “je”. Dans ce passage, Kant va chercher à nous faire part de son analyse sur l’importance qu’a pour le sujet conscient ce pouvoir de dire “je”.
L’auteur cherche donc à se questionner sur l’importance qu’a l’Homme de pouvoir dire je tout en ayant cette prise de conscience dès le plus jeune âge, d’être ce “je”. Le thème dégagé dans ce teste est donc la conscience, c’est à dire une expérience qui semble irrécusable : celle de mon existence comme sujet pensant.
Il s’agira donc d’étudier dans un premier temps le pouvoir de dire “je”, la dignité de l’Homme : la thèse de l’auteur, puis dans un second temps……….

Il s’agira donc d’étudier dans un premier temps d’étudier la thèse, exprimer dans le texte qui pourrait être décomposer en trois parties, de l’auteur c’est à dire la conscience de soi, la conscience d’être de l’Homme lui donne toute sa dignité. Pour cela nous commencerons par évoquer la prise de conscience de ce “je” par l’Homme ce qui lui permet d’être supérieur à toutes autres êtres vivants, nous verrons enfin le développement de la conscience chez le sujet, c’est à dire cette faculté à réussir à prendre conscience de nous même, de “savoir que je suis” dès le plus jeunes âges.

Dans une première partie du texte, allant le la ligne 1 à la ligne 9, nos pouvons voir que l’autre chercher à nous décrire la faculté d’avoir conscience de soit même chez l’Homme. Le texte commence par une phrase très importante. En effet Kant dit que “Posséder le Je dans sa représentation” rend l’Homme au dessus de tous les autres êtres vivants. La faculté que dispose l’Homme de savoir qui il est, d’avoir conscience qu’il est le rend au dessus de n’importe

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