commentaire, La bête humaine
INTRODUCTION Une locomotive concidérée comme un lieu tragique par une fraternité fatale accentué par des détails crus et un aspect angoissant. En effet, on retrouve plusieurs indices qui témoignent d'une mort brutale entre les deux personnages tel que la présence du passsé simple qui montre que l'action se déroule de manière vive "il y eut" "retrouva", la scène est marquée par la rapidité puisque la fonction du passé simple est de marquer une succession d'actions brèves. La chute commune fait figure dans l'extrait puisque les personnages sont caractérisés par une fatalité "amicale": "vécu en frère" "effroyable embrassade", ils sont condamnés à aimer mais aussi à vouloir se tuer. Dans cet extrait, le verbe "qui chantaient", désignant les hommes ivres dans la locomotive, montre un aspect tragique par sa signification puisqu'on peut penser qu'ici ils chantent le chant du bouc où en grec "bouc" se dit tragos, le chant du bouc serait donc une tragédie qu'on associe à la scène tragique de la locomotive. La mort est donc présente sur la machine et est accentuée par des détails crus. La mort de Jacques et de Pecqueux est décrite avec des détails cru, la présence d'une énumération comme "sans tete, sans pieds, deux tronc sanglants" témoigne d'une volonté de rendre la scène tragique marquée par la brutalité de la description. On retrouve également une accumulation "coupés, hachés", cela laisse penser que la locomotive est associée et meme responsable de la mort des personnages. On retrouve dans cet extrait un aspect angoissant où la locomotive est comparée à un animal fou. La présence de verbes auditifs tels que "hurlaient" "grondement" contribuent pleinement àla scène angoissante. On a également la présence d'un lexique sonore "bruit strident de son haleine" qui suscite chez le lecteur de l'angoisse par l'image que Zola donne de la machine,