Commentaire-la question de l'homme dans le genre de l'argumention
Comment l’auteur critique le sentiment de supériorité du genre humain ?
L’examen du texte portera d’abord sur les procédés d’argumentation de l’auteur puis sur l’ironie que l’extrait dégage.
Dans le texte l’auteur se livre à une critique apparente de l’homme et plus précisément de sa vanité.
L’emploi du pronom personnel « vous », et le discours direct donne l’impression que l’auteur à un interlocuteur directe, ci-contre c’est le lecteur. En outre l’argumentation de l’auteur est crédibilisée avec l’emploi du présent de vérité général.
L’auteur nous met face à des questions rhétoriques telles que le lièvre, le loup ou l’homme qui chassent et qui ont droit à un bon éloge, ces procédés donne un rythme au texte.
L’auteur met l’homme au même niveau que les animaux en comparant des situations propres aux animaux avec ceux de l’homme et en le plaçant « au-dessous de la taupe et de la tortue »l.2, mais aussi en qualifiant les animaux intervenants et l’homme d’ « animaux raisonnables » l.18.
D’autre part, vers la fin l’auteur compare l’homme et les animaux de façon plus imagée avec le « sabbat abominable »l.13 des chats, qui se rapproche de la guerre. Guerre qui semble absurde pour l’auteur avec les hyperboles « neuf à dix mille chats sur la place »l.12 et l’odeur qui a infecté l’air à « dix lieues » l.12.
Enfin, il y a une contradiction : les animaux sont félicités de « bon lévrier »l.5 ou encore de « bon