I. L’éloge de l’âge de fer
a. La critique de l’âge d’or
b. L’âge de fer : le temps du bonheur
II. La poésie pour persuader le lecteur
a. L’implication du lecteur
b. Provoquer pour persuader

I. L’éloge de l’âge de fer
a. La critique de l’âge d’or
- vocation de l’Age d’Or v. 1- 4 et 30-33 : il ouvre et ferme le poème et est rejeté avec désinvolture.
- Ironie 1er vers qui bouscule les idées reçues : expression familière « le bon vieux temps »
- anaphore « et » (v.2-4) texte pesant
- "Regrettera qui veut le bon vieux temps " (v.1) : cliché ironique de la nostalgie du passé
- Age d’Or évoqué à la fin : « nos bons aïeux » (v.31) : ironique.
- Caractéristiques de l'âge d'or sur ton moqueur montre le dénuement « ils étaient nus » (v.34) et ignorance « ils n’avaient rien » (v.33)
- « Est-ce vertu ? C’était pure ignorance » (v.43) montre que l’homme de l’Age d’Or est sans mérite car sans connaissance morale.

b. L’âge de fer : le temps du bonheur
- Opposition entre âge d’or et âge de fer "qui veut" (v.1) // "moi, je" (v.5)
- Champ lexical lié au bonheur : « pour mon bien » (v.6) ; « plaisirs » (v.10) ; « heureux » (v.15) ; « doux » (v.13) etc o bonheur matérialiste : « ornements » (v.11) ; « abondance » (v.14) ; « luxe » (v.20) ; « or » (v.18) ; « superflu » (v.22)
- Exclamation (v. 21) montre le lyrisme admiratif : annonce une ère de confort, de plaisir et de luxe.
- Époque de progrès et de nouveautés : o modernisme (répétition de l'adjectif "nouveaux" 2 fois aux v. 17 et 27) + o ouverture du monde au commerce : « échange » (v.26), « nouveaux biens » (v.27).

II. La poésie argumentative pour persuader le lecteur
a. L’implication du lecteur
- Volonté de persuasion : 1ère personne vite remplacée par "nous" (v.16) + « Tout honnête homme » (v.12)  généralise et inclut les destinataires
- Rimes plates, embrassées et croisées pour ne pas lasser le lecteur.
- Apostrophe le lecteur : « Voyez-vous » (v.24)
- Indices de sentiment : « il est