Commentaire mme bovary, relation morales entre m.bovary et m.homais
L’extrait à étudié (n°5, manuel de Littérature) aborde avec ardeur la concurrence médicale dans le milieu de petite bourgeoisie, et celle cherchant à conquérir la femme aimé.
Dans la première partie nous étudierons que l’intérêt porté au texte est avant tout dût aux caractères psychologiques de M. Bovary et M. Homais. Mais qu’elle est la relation morale unissant ces deux personnages ? Puis, dans une deuxième partie, nous verrons comment un auteur peut nous faire comprendre ses idées à travers l’un de ses personnages. Ici, Flaubert reflète-t-il l’idée qu’il à de la société de son époque à travers le personnage de M. Homais ?
Pour commencer, dans cet extrait de Madame Bovary, l'auteur nous montre le peu de caractère qu'à Charles Bovary. Ayant d'abord été influencé par son épouse et M. Homais, pharmacien, pour réaliser une opération dont il ne semble pas capable, il accepta. Mais on remarque l'amplification que donne M. Homais aux faits de cette opération. En effet, « le théatre d'une expérience chirurgicale » (l.8); « un acte de haute philanthropie » (l.9); « l'opération s'est pratiquée[...] sont venues sur la peau » (l.22); « cette cure si remarquable » (.34) ; ne sont que des hyperboles. Pourtant, cela semble faire plaisir au concerné, M. Bovary. Mais la timidité de celui-ci à l'égard du pharmacien ne lui laisse échapper qu'une émotion suffocante. Sa réaction façe à ces écrits n'est qu'une répétition : « Ah ! C'est trop ! C'est trop ! » (l.11). On voit alors qu'il aime être flatté, mais il semble être conscient que ces flatteries sont des mensonges. M. Bovary, comme on le remarque à la fin de l'extrait, ne restera pourtant qu'un médiocre médecin de campagne, si dénigré par sa femme, qui s'éloignera de lui par la suite. Après avoir réaliser cette opération, c'est comme si le clopinement du « pied-bot » d'Hyppolite rythmait