Commentaire de texte
Naturalité et antériorité de la cité

Pour parler politique, Aristote nous parle de la cité. Il décrit son fonctionnement. Structure du texte. Il part du tout et arrive à l’Homme. Inversion de l’argumentation par rapport aux auteurs du contrat social (individu -> société)

1ère partie : ligne 1 à 9 « excellent »
2ème partie : ligne 9 à 17 « grégaire »
3ème partie : ligne 17 à 26

La cité est la fin naturelle des communautés humaines.
Thèse sur la naturalité de la cité. Thèse sur le fait que l’homme est un animal politique.
Enjeux : pourquoi ?
Le langage différencie animaux et hommes car les animaux n’ont que la voix.
Explication linéaire.

I. Appréhension théologique de la polisse
Famille puis village mais pas communauté finale. Polisse première forme de communauté.
Achevé : deux sens
Cité quand autarcie totale. La famille répond aux besoins comme le village mais est plus étendue. La cité répond encore plus aux besoins. Totalité de l’autarcie.
Cité : réunion d’hommes qui visent un but. Tache politique : actualiser les besoins humains : appuyer la puissance.
Homme rationnel : ils font usage de leur raison. Les hommes qui ne le sont pas ne sont pas parfaits. Degré d’excellence supérieure. Les êtres cherchent une fin.
Cité : communauté achevée, perfection supérieure par rapport aux autres, quelque chose de naturelle.
Lien entre cité et homme : animal politique ? Hypothèse de lecture : analogie entre politique et vivant

II. Politique / citoyen - vivant / organe
Tout / parti
Organisme : tout vivant. Du point de vue de la fin on appréhende l’organe
Différents citoyens remplissent différents fonctions
C’est relatif au tout qu’il faut penser le citoyen, donc animal politique

III. Argumentation relancée car l’hypothèse que l’homme est un animal politique peut être défendue.
Animal : genre politique qui le différencie
Grégaire : vit en groupe mais négatif, agit comme les autres
Manière de vivre différente pour vivre en groupe.
Mais