Özlen 203TaliaBarbier de SévilleLe Barbier de Séville est une comédie de Beaumarchais en quatre actes. Il a été publié le 23 février 1775, il s’agit du premier volet d’une trilogie nommé Le roman de la famille Almaviva , puis Le Mariage de Figaro écrit en 1778, mis à la scène 1784. Le troisième, La Mère coupable qui est achevé est mise en scène en 1792. Dans Le Barbier de …afficher plus de contenu…

En second lieu, nous allons voir la jalousie de Bartholo, par la suite son aveuglement. Puis, conclurons. En premier lieu, le décor est un cliché des scènes de séduction : la fille courtisée à la fenêtre, et le courtisant sous sa fenêtre. L'enjeu de la scène est la relation entre la rue et la maison, entre l'espace public et l'espace privé. A la fin de la scène Bartholo montre sa peur d’un danger de l’extérieure qui le pousse à s’isoler avec Rosine. La première réplique de la jeune femme représente la malheureuse vie triste et cloitrer qu’elle subit « Comme le grand air fait plaisir à respirer ! ... ». L’ouverture de la jalousie de Bartholo s’exprime par l’envie, son désir de liberté, en lien avec les relations extérieurs. Le public …afficher plus de contenu…

Le balcon est encore la partie visible de la seconde scène, cependant toujours secrète. Afin de duper Bartholo, Rosine joue un rôle : elle fait tomber un papier dans la rue pour que Bartholo parte le chercher. Elle fait objet d’humour pour trouver une échappatoire : « ma chanson est tombée en vous écoutant ». Grâce à cela, le Comte et Rosine peuvent communiquer. La communication « secrète » entre elle et son amant avec lequel les spectateurs sont complices. Rosine paraît expliquer son mensonge au public lorsque Bartholo revient : « est-ce un crime de tenter à sortir d’esclavage ? ». Un double échange est alors présent, Bartholo s’avère sentir qu’une chose lui est passé sous le nez avec la disparition du papier. Nous pouvons aussi remarquer le