Commentaire de texte, pot bouille
Sa conviction de « jeter sa fille » (ligne 36) dans les bras du premier venu est démesurée. Elle a l’impression d’être sur un champ de bataille, chaque « défaites », et celles-ci semblent être nombreuses, sont semblables à un coup en « plein cœur », notons l’hyperbole. La dame est désespérée » « bouleversée, exaspérée », ici une gradation, par un évènement peu important en temps normal, elle surréagit constamment et ne sait point se tenir en public. Elle tente de cacher ses manières familières en s’exprimant « gracieusement », mais il suffit qu’elle souhaite que l’attention se porte sur son produit, sa fille, et elle « crie ». Elle juge « affreux » de devoir abandonner la …afficher plus de contenu…
Monsieur Mouret, dont madame Josserand attend beaucoup, et qui semble intéressé par Valérie. Celle-ci passe la soirée avec madame Juzeur. Ensuite, Monsieur Trublot, qui n’est pas inédit, car il « connaît la maison ». Et enfin monsieur Vabre, sur qui l’hôtesse se rabattra pour marier sa fille. On perçoit rapidement un lien entre les deux dames, qui feront preuve ensembles « d’admiration » pour le travail produit par Berthe qui n’a pas l’air d’être tant admirable en vue de la réaction de monsieur Mouret, qui se moquera doucement de l’hôtesse qui en aura tant vendu ses mérites. Cela l’amuse, il accentue le tout en finissant sa moquerie par une répétition qui ne fera pourtant pas réagir madame. L’échange entre les deux hommes montre que ceux-ci ne sont pas là pour conquérir la petite mais bien admirer les autres invitées. Il y a ici trois relations intéressantes à relever, la première étant celle entre l’hôtesse, Madame