Comparatifs neoclassiques et keynesiens
Néo-Classiques Produit Notion d’utilité marginale (la valeur du produit n’est plus basée sur le travail qu’il a fallu pour le fabriquer) Pur et parfait autorégulation 1/ Atomicité : le grand nombre de participants minimise les aléas de leur comportement 2/ information transparente et complète : tout le monde connaît tous les prix de tous les produits 3/ Homogénéité des produits, pas de place pour l’innovation 4/ libre entrée – sortie 5/ libre circulation de la monnaie, facilité les échanges 6/ centralisation des échanges (bourses) Loi des débouchés (Say) : tout produit trouve acquéreur. Equilibre (par tâtonnement) = l’offre détermine la demande équilibre entre offre et demande pas de nécessité d’intervention de l’Etat Demande basée sur satisfaction du plaisir au meilleur coût (maximisation) Taux d’intérêt = Renoncement au plaisir de consommer Bien comme un autre. Au point d’équilibre du marché du travail, chômage = o si chômage, il est volontaire. Aucun Demande Investissement Production Revenu Keynésiens
Marché
Consommation + Epargne
Demande
La demande détermine l’offre. Cette demande est effective (+/- anticipée) pas d’équilibre nécessité d’intervention de l’Etat
Epargne
Préférence pour les liquidités : - Transactions (achats courants) - Précautions (gestion de l’imprévu) - Spéculation (placements) Taux d’intérêt = Renoncement aux liquidités Chômage involontaire, lié au contexte économique (crise), d’où nécessité de régulation par l’Etat Fonction contracyclique : Limite la croissance, donc l’inflation (en contrepartie, hausse du chômage Cf. courbe de Philips) gestion du risque avec assurance chômage Favorise la consommation en période de crises (effet multiplicateur : hausse salaires fonctionnaires, baisses d’impôts, grands chantiers de travaux publics,…)
Chômage
Rôle de l’Etat