Correction de bac blanc la peste
Conviction des trois auteurs-----> expliquer en prenant appui sur les procédés
Conviction : idée, la pensée
Réponse :
Le poème L'échafaud de Victor Hugo publie en 1983, le passage de la peste d'Albert Camus parut en 1947 et l extrait du discours que Robert Badinter a tenu en 1981 manifestent chacun une manière de prendre position contre la peine de mort. Dans L'échafaud de Victor Hugo, on a l'image de la guillotine après une exécution capitale, l échafaud deviens un monstre sanguinaire grâce à de nombreux adjectifs ( hideux,.. ) ou à des images ( miroir effrois,.. ) donc la condamnation est implicite. De plus il exploit les ressources du vers,par exemple la musicalité avec les assonances en "ou" mais encore des allitérations en "t".
Dans la Peste, Tarrou assiste à un procès dans lequel un homme est condamné à mort, il a honte et éprouve une sorte d'empathie ( éprouver les mêmes émotions ) avec la victime.
La manière de présente le condamné, la comparaison avec le hiboux le rend pitoyable par opposition à son père ( juge ) dont les mots sont comparés à des serpents, la décision de justice est assimilée à un meurtre ( assassinat ), dans ce texte c'est par le point de vue que le narrateur confronte le lecteur d'une autre perception de la condamnation à mort.
Dans le discours de Badinter la position contre la peine de mort est explicite. Il exploite toutes les ressources de la rhétorique, des répétitions, articulations logique, des interrogations oratoire, exclamations, argumentations rigoureuse visant à donner à la justice toute sa noblesse, inclut l'auditeur avec "honte commune" pour le rallier à son point de vue. Donc chacun des trois auteurs affirment l'horreur que lui inspire la peine de mort. Le premier en donnant le spectacle de la guillotine, le deuxième en fraternisant avec un condamné et le troisième en expliquant sa conception de la justice.
Commentaire :
1ère partie : Splendeur et terreur de