CORRIGE Etude Documentaire
La valeur de la philosophie est son incertitude. Elle permet par un doute libérateur de combattre les préjugés.
Combat contre les dogmatismes.
Refus de l’obscurantisme, qui représente l’un des plus grands dangers.
Il s’agit de montrer que la philosophie est une démarche de l’esprit. C’est une capacité qui n’est pas innée mais qui révèle une forme de compréhension du réel et de ne pas s’en tenir à l’ordre de l’évidence.
Le texte montre que l’homme qui se tient à ce qui est fini et évident considère la réalité comme………..
La banalité est ce qui produit aussi cette curiosité. L’évidence est ce que ROSSELL place du côté de l’habitude, que nous ne remettons jamais en cause. L’habitude est rassurante, elle donne des marques, mais elle nous obnubile.
Il n’y a pas à attendre de la philosophie des réponses complètes. Car si la philosophie donnait à son tour des réponses claires, elle retomberait dans le propre du dogmatisme. En effet chaque époque, individu, civilisation, a des difficultés différentes et qui donc apporte des solutions différentes elles-aussi.
Avoir le courage de questionner l’habituel, capacité de questionner. Il ne s’agit donc pas de s’installer dans l’incertitude, mais de réduire notre certitude.
Texte polémique aussi car il oppose deux valeurs, deux visions : l’homme philosophe et l’homme non-philosophe.
Ici la logique n’est pas ce qui va de soi sans questionnement. Usage de la raison en vue d’une certaine vérité, d’une certaine cohérence mais qui aura été établie par une réflexion.
L’étonnement est une vertu de la philosophie, une capacité à rester en alerte. C’est une question de vision, une question de perspective, mais aussi une capacité à être surpris.
L’évidence nous enferme dans une réalité toute faite, à la différence de l’étonnement.
En conclusion :
Dans ce texte, l’auteur prend compte d’une certaine capacité de la philosophie, qui pose le réel au possible. Il s’agit dans le fond de questionner le monde afin de parcourir