Etude dee document
Gottfried Leibniz était un philosophe allemand du XVII siècle. Il écrit un texte ou il s’oppose à l’empirisme en science qui se trouve dans la préface des Nouveaux essais sur l’entendement humain. Selon lui, pour que les sciences soient universelles, elles ne doivent pas être basées sur l’expérience immédiate sensible, mais dépende de la raison. Dans un premier temps, de la ligne 1 à la 2, Leibniz énonce la thèse principale. Il nous explique que les sens sont utiles mais qu’ils ne sont pas l’unique source de nos connaissance, ils servent d’appui, d’exemples. Dans un deuxième temps, de la ligne 3 à la 5, il nous explique que les exemples confirment mais n'établissent pas, ils ne donnent pas non plus toutes les vérités Enfin Leibniz fini part dire, de la ligne 4 à la 6 que bien que les sens soient nécessaires, ils ne doivent pas influencer les sciences, qui tendent vers la connaissance universelle mais pas particulière.
Leibniz commence par dire que les sens sont nécessaires pour une connaissance actuelle, c'est-à-dire des connaissances « en acte », immédiates : les informations que nous recevons des sens. Les sens ne permettent pas d'accéder à toutes les connaissances, il dit qu’ils ne sont pas suffisants pour nous fournir toute nos connaissances. En effet, les sens ne permettent que des expériences particulières, subjectives et dont on ne peut rien déduire puisqu'il s'agit d'exemples. Selon Leibniz, les exemples sont des vérités particulières ou même individuelles, cela veut donc dire que les exemples ne sont pas universelles, ils dépendent donc de quelque chose de particulier. A travers les sens, un individu acquiert des connaissances et en tire des vérités qui ne concernent que lui. Les sens limitent donc les autres connaissances, celles qui n'ont pas de rapport avec l'individu. C'est-à-dire que les sens d’une personne quelconque lui font acquérir des vérités qui sont vrai que pour lui.
Ensuite, Leibniz