COMMENT PAPA AGBAOSSI EST DEVENU CHEF DIOCESE DU BENIN

Tenant compte de l’attachement aux valeurs spirituelles dont le devancier AGBAOSSI a toujours fait preuve jusqu’en 1974, le Prophète OSCHOFFA, sans la prise d’une moindre note ecclésiale de nomination, l’a tacitement rendu Chef du Diocèse du Bénin et son homologue de l’Est, le Supérieur Sénior Evangéliste Alexandre Abiodun BADA Chef du Diocèse du Nigeria. C’est ainsi que la toute petite brochure intitulée : ‘’Les paroles essentiels du Prophète OSCHOFFA’’, publiée le vendredi 25 octobre 1974 a été& signée du trio AGBAOSSI , BADA et OSCHOFFA respectivement en tant que premier représentant de l’Eglise au Bénin, premier représentant de l’Eglise au Nigeria et Chef mondial de l’Eglise.
Cette affaire de signature tripartie de la brochure était un argument opposé en son temps par le Doyen GOUTHON Daniel ‘’GOMADA’’ pour freiner l’hégémonie du Pasteur Alexandre Abiodun BADA. En dehors de cette signature, le devancier BADA détenait des actes réguliers de nomination de Chef diocèse du Nigeria ce qui n’était pas le cas chez le devancier AGBAOSSI.

Un choix consensuel sur délégation de pouvoir

Des révélations sont nécessaires et quelques réminiscences permettront de distinguer les fils de chaîne des fils de trame. Trois grands personnages étaient en lice dont deux du Nord et un Sudiste. Le lieutenant Jean YOROU Pilote d’avion, le Lieutenant Lucien TIAMOU Aide de camp du Président Mathieu KEREKOU et l’inspecteur des Finances Paul GONCALVES. La révolution battait son plein et l’Eglise du Christianisme Céleste délaissée par le Fondateur connaissait un désordre organisationnel au Bénin qui aboutit à une fermeture de trois ans (mercredi 12 août 1981 au mercredi 30 mars 1983 date de la réouverture).
Le Lieutenant d’escadrille Jean YOROU très lié au Président Mathieu KEREKOU a pu le convaincre de la nécessité de réouverture de l’Eglise après plusieurs tête à tête où il lui avait remis et expliqué son