Cycles de croissance et innovations
La croissance économique ce mesure par l’augmentation du PIB (Produit Intérieur Brute) pour le plus souvent conséquence de l’innovation.
I la théorie
L’économie subit depuis des décennies fluctuations et régularités. Selon divers économistes celle-ci est emprunt à des périodes cyclique. Comme le cycle de Juglar cycle court d’une durée de 8 ans et cycle de Kitchin d’une durée de 3 à 4 ans, suivant le même schéma comprennent phase de prospérité (lancement, découverte innovation), point de retournement puis phase de déclin.
Un troisième cycle économique se distingue alors. C’est le cycle de Kondratieff exposant la théorie que le capitalisme reprendrait son expansion après chaque crise. Ce cycle se décompose en quatre phases : * Prospérité appelé aussi phase ascendante : caractérisée par une forte croissance , une hausse de la production , liée aux investissements naissant des entreprises , une diminution du taux de chômage , et une hausse des prix liée a l’accroissement des coûts de production des innovations.
* Récession appelé aussi dépression et/ou descendante caractérisée par une foules d’obstacles se liant les uns aux autres, portant vers une crise. A ce stade du cycle la consommation baisse à cause des prix trop élevés engendré par une pénurie des matières premières par exemple et donc une baisse de la demande.
Cette arrêt de la consommation entraine donc les entreprises dans un engrenage qui sera l’arrêt partiel de l’activité et / ou de la production, conduisant à licencier, vendre à « bas » prix son devenu surplus de stocks et rétreint les entreprises à épargner faute d’investir (peur de ne y trouver un bénéfice sur). * Crise se caractérisant par une longue période de chômage, baisse du pouvoir d’achat, épargne « excessive » des entreprises, fermetures de beaucoup de structures pas assez solides pour attendre une reprise presque évidente mais parfois lointaine.
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