Dans quelle mesure peut on parler d'une sous-culture jeune.
(note : 14/20)
Actuellement, au XXIeme siècle, la jeunesse est caractérisée par des traits qui lui sont très spécifiques. Les jeunes sont placés au centre de l'actualité. Notre société de consommation leur est redevable, ils sont au coeur des nouvelles technologies qui bouleversent notre monde quotidien, avec l'exemple des créations d'Apple : Iphone, Ipad, Ipod…
La jeunesse est une classe d'âge, elle réunit une population non adulte, qui a généralement moins de 25 ans. C'est un passage de la vie, où l'individu acquiert une maturité psychologique et apprend à devenir autonome. Des rapports et des rituels vestimentaires ou langagiers unissent les adolescents. Cette notion de jeunesse est mobile et peut varier selon la société dans laquelle vit l'individu. La génération adolescente se démarque de la génération anciennes, en créant son propre tissu social. C'est une forme sous-culture, qui se réfère à une culture propre à la jeunesse parmi la culture dominante, où se traduisent des normes et valeurs qui leurs sont spécifiques, mais qui ont tout de même des points communs avec la culture qui leur a été inculqué. Ainsi, peut-on parler d'une seule et même sous-culture qui unit les jeunes, avec des normes et valeurs qu'ils partagent ? Bien que les jeunes semblent forment une seule et même sous-culture avec une idéologie différente de la culture dominante, dont les normes et valeurs leurs ont été apprise au cours de leur processus d'intériorisation, la socialisation, nous pouvons nous demandé si ce modèle de sous-culture jeune convient à l'ensemble de la jeunesse et si des points communs ne les unissent pas avec le monde adulte. Après avoir démontré que les jeunes semble formé une sous-culture, nous verrons dans un second temps, que néanmoins ce modèle de sous-culture jeune ne correspond pas forcément à tous et que des points communs avec la culture dominante existent, ce qui remet fortement en