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Le conte merveilleux : de la lecture à la production d’écrits
Tuteur . Duperie7. Complicité Première séquence8. Manque ou méfait9. Médiation10. Entreprise réparatrice11. Départ du héros12. Première fonction du donateur13. Réaction du héros14. Transmission15. Déplacement, transfert du héros|16. Combat du héros contre l'antagoniste17. Marque18. Victoire sur l'antagoniste Deuxième séquence19. Réparation du méfait20. Retour du héros21. Poursuite22. Secours23. Arrivée incognito du héros24. Imposture25. Tâche difficile26. Accomplissement de la tâche27. Reconnaissance du héros28. Découverte du faux héros29. Transfiguration30. Châtiment31. Mariage ou accession au trône|
Propp définit également, nous l’avons dit, 7 personnages-types ou 7 rôles :
Le héros, le faux-héros, le mandateur, l’objet de la quête, l’agresseur, le donateur, l’auxiliaire (l’objet magique, souvent).
« Les observations présentées peuvent être brièvement formulées de la manière suivante :
– Les éléments constants, permanents, du conte sont les fonctions des personnages, quels que soient ces personnages et quelle que soit la manière dont ces fonctions sont remplies.
– Les fonctions sont les parties constitutives fondamentales du conte. Le nombre des fonctions que comprend le conte merveilleux est limité. » Extrait de Morphologie du conte, Points Seuil, 1970.
· Lévi-Strauss formulera des critiques à l’égard de la théorie de Propp (La structure et la forme, 1960) : il montrera par exemple que les contes se prêtent moins bien à l’analyse structurale que les mythes car ils sont plus libres. Il affirmera aussi qu’en étudiant les contes en dehors de tout contexte ethnographique, l’analyse structurale conduit à des incohérences et à un excès d’abstraction. On s’en aperçoit effectivement quand on est face à la formule canonique que propose Propp et qui régit tous les contes.
· A.J. Greimas, dans son ouvrage Sémantique